A l'abri des GoogleBots depuis des mois, c'est sur les conseils résignés du gars Taxi que je me décide finalement à lâcher le gamin.
Wai, en bons vétilleux (le dico des synonymes, strop génial), on aurait espéré que le bestiau reçoive un petit tampon officiel de la part de ses géniteurs. Suivant l'axiome inébranlable du "le frère du poto du copain de mon voisin de palier connait...", le Pissenlit originel aurait dû lui-même parcourir en avant-première le texte pour en valider au maximum l'exactitude. Bon ben ce sera peut-être pour plus tard.
Les doigts encore frappés de l'ankylose qui en découle, j'extrait de sa poubelle nourricière le script dégoulinant de yaourth du Graphique de Boscop. Pour les vrais curieux, et parce que la nuit est vachement trop avancée pour que je tente un résumé sémantiquement correct, je link sauvagement cet article, ainsi que celui-là. Ils traitent tous deux du Café de la Gare, berceau de cette pièce de théâtre jouissive d'absurde et de loufoque. Rendons à César sa gamelle.
Comme pour Derrick vs Supermec, j'encourage violemment les gens pas fiers à me signaler ici toute erreur, dyslexie caractérisée, oubli, voire même de corriger mes incertitudes repérables entre crochets [ ].