Marquette.
Un concentré d'antipodes. Une pente forte entre centre et banlieue, où s'ouvre soudain l'espace altitude. Une ouverture grande comme trois coups d'ailes de pigeon. Un seul s'il fait beau et que la bête se laisse planer depuis l'amont. Zéro, et même sans plumes si le ramier percute un cent trente-huit à fond de pédale.
Toutes mâchoires pressées, le nouveau monstre platine à la voix de satin s'immobilise devant l'abri, d'une contre-inertie impressionnante. Une promo d'artistes de Condé se fait avaler par l'avant, toutes insaisissables par la fausse arrogance, un peu comme moi par l'insondable touffe. Aucune présente dans la même dimension, ce regard fuyant vers les coteaux de Villers, figées dans un demi-sourire que complète une demi-élégance.
Dans cette souille calculée se reflète l'inversion Bouffleresque des échelles de classe. Quand d'autres ascensions nous renvoient la grimpée des pèpètes, ici la tendance bascule, et souvent les poches des hauts bergers se percent et laissent la gravité s'occuper des deniers. Les gens du bas ont la facture si légère qu'on y a implanté le cimetière, symbole fondamental de la vive réussite.
Marquette, que surveille un autre souterrain, le réservoir du petit parc. Ses ombres portées gonflées au HDR, ses arbres aux canopy shadows remarquables, pour peu qu'on ne laisse pas pousser l'herbe trop loin. En fait, l'idéal est une impasse pure et simple des self shadows, au profit d'un contraste de qualité sur les ombres et lumières. On maximise la qualité en intérieur, en soignant le distant lands à l'extérieur. Si besoin est, un coup de patch sur les textures lointaines, et en avant l'always run et le bunny pour titiller les acrobatics.
Un instant... j'en ai rien à taper de ce post.
[pas mort pour rien] j'y retourne.