DERRICK CONTRE SUPERMAN
(Eine Grosse Fünf)
Secrétaire de Berlusconi : Vous ne voulez vraiment pas vous asseoir inspecteur ?
Stephan Derrick : Non. Ecoutez j'arrive de vacances, la Cinq n'existe plus, je suis au chômage, je veux voir monsieur Berlusconi. C'est vrai j'en ai plein le cul... je veux le voir tout de suite.
Harry Klein : Oui c'est vrai... moi aussi... tout de suite...
Assistant de Berlusconi : C'est pas un problème. Si vous voulez voir monsieur Berlusconi, il est là, alors c'est maintenant.
Stephan Derrick : Ah ben vous tombez bien monsieur Berlusconi, je suis venu juste vous dire que vous étiez un gros nase de première.
Silvio Berlusconi : Ah. Ben voilà autre chose... pourquoi vous me dites ça ?
Stephan Derrick : Euff... je veux remettre sur pied une nouvelle nouvelle Cinq.
Harry Klein : Oui oui moi aussi c'est ça... une nouvelle nouvelle Cinq.
Stephan Derrick : Je vais d'abord engager le top des top des vedettes.
Harry Klein : Oui oui moi aussi... le top des top des vedettes.
Voix-off : Notre épisode d'aujourd'hui, Derrick contre Superman.
Stephan Derrick : Ecoutez les Blake, franchement je ne vois pas de quoi vous avez peur... très franchement.
Blake Carrington : Mais moi je n'ai peur de rien, camarade, j'en ai plein les couilles et c'est tout.
Stephan Derrick : Mais plein les couilles de quoi ? Je ne comprends pas, je vous parle de gros salaires, d'au moins dix mille francs français par mois.
Blake Carrington : Attends, t'es gentil. N'essaye pas de me tenter avec tes salaires mirobolants, je te parle de politique. Les camarades télespectateurs n'ont rien d'autre à perdre que leur chaine.
Stephan Derrick : Notre chaine gagne à être connue.
Krystle Carrington : Derrick, ou vous êtes un rhétoricien redoutable, ou vous êtes un parfait crétin, mais vous avez réussi à me perdre là.
Blake Carrington : Rhétoricien de mes couilles ! Tes enquêtes elles sont minables, tu sers d'alibi aux vendeurs de savon et de lessive.
Stephan Derrick : Eh... nom de Dieu, Blake, vous êtes un communiste ça crève les yeux !
Blake Carrington : Oui, je suis communiste et un marxiste en plus, et je t'emmerde gros con, barres-toi fasciste pourri impuissant à la solde du patronnariat, et de l'impérialisme yankee. Casses-toi de chez moi gros porc, sale boche pourri va vendre ta lessive.
Stephan Derrick : Eh d'abord c'est celui qui dit qui y est, et en plus je bosse pas avec des cocos moi.
Blake Carrington : Ah... Lénine, réveille-toi.
Stephan Derrick : Oh putain j'ai une illumination... ça y est, oui, c'est ça, une super idée. Tu sais à qui je vais faire signe ?
Harry Klein : Non je sais pas euh... Babar ?
Stephan Derrick : Ça va pas... mais non, pas Babar, c'est un éléphant, et puis ça a pas le téléphone les éléphants, et en plus ça salope tout... non. J'ai bien mieux que ça... aaah... moi j'ai les mecs de Star Trek, c'est des potes ils peuvent pas me dire non.
Standardiste : Enterprise bonjour ?
Stephan Derrick : Oui bonjour mademoiselle, je voudrais parler au capitaine Kirk... Kirk s'il vous plait.
Standardiste : Ne quittez pas...
Capitaine Kirk : Oui allo qu'est-ce qu'il y a ? Qui me demande ? J'entends pas !
Stephan Derrick : Allo, salut mon petit Kirk, c'est Derrick, ça va comme tu veux là-haut ? Euh excuse-moi, je t'appelle à propos d'un projet qui...
Capitaine Kirk : Attends vieux, laisse-moi un numéro où je peux te rappeler.
Stephan Derrick : Non... c'est pas la peine, je peux t'expliquer ça en deux secondes...
Capitaine Kirk : Attends t'es bouché ou quoi ? Je peux pas avec les vénusiens rebelles.
Standardiste : Capitaine, votre correspondant a coupé, veuillez libérer la ligne, merci.
Stephan Derrick : Ah il m'a fait le plan du type débordé, je supporte pas ça c'est nul, je vais appeler les deux plus forts.
Harry Klein : Maritie et Gilbert Carpentier ?
Stephan Derrick : Non... t'es décidément trop con... on va trouver beaucoup mieux, beaucoup mieux, beaucoup mieux que ça crois moi.
Voix-off : Département de la police
Dave Starsky : Alors ça baigne ?
Ken Hutchinson : Mmh.
Dave Starsky : T'as vu ton analyste ?
Ken Hutchinson : Ouais.
Dave Starsky : Bon ya Derrick qui a appelé. Il nous a proposé du boulot...
Ken Hutchinson : Attends j'en ai rien à foutre de Derrick.
Dave Starsky : T'énerves pas on a plus une thune pour...
Ken Hutchinson : Je suis complètement névrosé, je veux plus me pourrir la vie. Je subis une pression de la privation extérieure.
Dave Starsky : C'est le foie.
Ken Hutchinson : Non c'est pas le foie, ça se saurait, c'est mon pathos tu comprends ça ?
Dave Starsky : Eh... mais qu'est-ce que tu vas faire ? Tu sais rien foutre à part jouer au nouveau chevalier qui fait genre euh j'ai peur de rien.
Ken Hutchinson : Mais tu te rends pas compte, toi et moi on a influencé des générations entières de gardiens de la paix. On a des dizaines de bavures sur la conscience. C'est pour un p'tit gars qui s'appelait Malik Oussekine que je raccroche... pour jamais oublier, plus jamais ça !
Harry Klein : Et Matt Houston ? Enfin Matt Houston. On l'a pas appelé mais euh... c'est un super détective, c'est vraiment une flèche, on devrait l'appeler. En plus, je connais une super blague avec Matt Houston.
Stephan Derrick : Je crains le pire... mais je sens que tu vas me la raconter.
Harry Klein : Bah en fait c'est... c'est une devinette patron. Est-ce que vous connaissez le vrai prénom de Matt Houston ? Parce que Matt, c'est bidon... son vrai prénom...
Stephan Derrick : Ecoute j'en sais rien et j'en ai rien à foutre, alors fini ta blague.
Harry Klein : Ben c'est Gédébore. Parce que Gédébore Houston.
Examinateur #1 : Euuuh bon. Comme vous le savez sans doute, j'ai eu Derrick et pour le boulot qu'il propose, vous allez passer un test : le test du docteur Brunot.
C.J. Parson : Qu'est-ce que c'est que cette histoire de test ?
Matlock Houston : Attends C.J. calme-toi, laisse-le parler, on va voir.
C.J. Parson : Non mais attendez j'ai bossé des années sur TF1. J'ai jamais passé un test.
Examinateur #1 : Aaah non ? Bon assez rigolé, concentrez-vous. Voilà ce test fait appel à votre mémoire visuelle... est-ce que vous êtes prêts ? Top chrono. Des fragments de dessins vont défiler devant vous. Vous devrez les assembler mentalement pour reconstituer le dessin tout entier.
Matlock Houston : Ho putain ça a l'air dur là.
C.J. Parson : Non mais c'est pas possible.
Matlock Houston : Rho l'autre eh c'est super saqué...
C.J. Parson : Tais-toi je réfléchis.
Matlock Houston : Ah oui. Ohlalalalalalalala...
Examinateur #1 : Parfait. Bon, est-ce que vous avez trouvé ?
C.J. Parson : Eh bien je pense à une clé à molette.
Examinateur #2 : N'oubliez pas que vous avez droit à une seule réponse. Matt Houston ? Vous pensez quoi ? C'est vous le héros.
Matlock Houston : Baeuuuh je pense que c'est une clé à molette euuh comme C.J. Je vois pas ce que ça peut être d'autre... une clé à molette de mécanicien.
Examinateur #1 : Pas de chance et perdu, c'était une maison. Plus communément appelée "case d'Afrique".
Matlock Houston : Non mais vous voulez dire qu'on s'est planté comme des grosses buses ? Alors là je ne le crois pas.
Examinateur #1 : Et comment donc !
C.J. Parson : Et comment donc qui je vous prie ?
Examinateur #1 : Et comment donc Houston. Bon, c'est terminé.
Matlock Houston : Hmmm... il est bien ton badge...
C.J. Parson : Lâche-moi. Tout le monde se fout de ta gueule, tu sais que t'es un nase ?
Matlock Houston : Ouais je sais...
Jules Maigret : Ah vous êtes lourds les mecs. Vous avez le cul pourri.
Harry Klein : Heh qu'est-ce que tu veux qu'on fasse ? On a les boules, faut qu'on décompresse...
Jules Maigret : Non, je sais bien... mais c'est pas une raison pour que je respire l'air qui sort de votre cul. Moi je serai vous, j'appellerai ce commissaire, tellement sympatique, celui qu'a un accent rigolo.
Harry Klein : Ah oui, je vois qui tu veux dire...
Joueur de billard : Joli coup, mon cher Michel Boujenah...
Navarro : Dis-donc toi connard, tu m'appelles encore une fois Boujenah et je te nique ta mère ! Putain d'enculé de ta race tu vas bouffer tes morts !
Ginou : Commissaire ?
Navarro : Fils de pute !
Ginou : Quand vous aurez fini vos mamours... ya un appel super-urgent pour vous.
Navarro : Merci [Léonne], t'es une gentille fille toi.
Ginou : Pis vous paierez votre note aussi...
Navarro : La note, tu te la mets au cul et puis euh...
Ginou : Et puis ?
Navarro : ...tu te torches avec, allo ?
Stephan Derrick : Allo commissaire Enrico ?
Navarro : Dis-donc connard, enculé d'antisémite de ta mère, tu vas me parler avec un peu de respect oui ? Fils de pute d'ancien nazi de bourreau d'enfant, ton père y t'as fini à la pisse, après y t'as bercé contre un mur, t'es qu'un gros connard Derrick... je te dis merde t'entends ? Je t'emmerde. Putain l'enculé y m'a énervé... hep !
Danny Wilde : Brett, tu ne vas pas me croire, mais ya Roger Hanin en bas...
Brett Sinclair : Roger Hanin... l'acteur ? Mais qu'est-ce que tu veux que ça me fasse enfin ?
Danny Wilde : Baaeeh... c'est Roger Hanin, alors ça n'arrive pas tous les jours qu'on le voit dans la rue...
Navarro : Enfoiré.
Danny Wilde : Dis-donc toi, tu me fais la gueule ou quoi ?
Brett Sinclair : Moi ? Nooon, mais je n'ai pas le temps de m'amuser, il se trouve que cet aprèm', j'ai rencard avec Superman.
Danny Wilde : Ouahou... mais moi je suis chaud, moi je suis hot, moi j'ai envie de niquer tu comprends ça ? De niquer.
Brett Sinclair : Bon... un autre jour ?
Danny Wilde : Un autre jour, c'est ça oui, ben je m'en fout moi, je vais fourrer la commode et puis basta hein.
Le Saint : Salut, tu vas bien... numéro 6 ?
Numéro 6 : Ça va pas mal. A part que je suis sous acides.
Le Saint : Ah oui... tu n'as pas arrêté. Bravo c'est bien.
Numéro 6 : Mmmh merci mmmh mais dis-moi, Superman n'est pas encore arrivé...
Le Saint : Euh non mais... flippe pas vieux, il ne va pas tarder à débarquer, tout se passe très bien.
Numéro 6 : Mais je flippe si je veux. Tu n'es pas mon père d'abord. Pour nous, les gens de M6, si jamais Derrick réussi, c'est la cata.
Le Saint : Hey vieux, tu noirci un peu le tableau parce que t'es sous l'emprise de la came, ça te rends parano et con mais... avec Superman, ça va gazer.
Numéro 6 : Superman... c'est bien que tu sois là, tu vas nous donner nos instructions...
Superman : Ok les filles. Toi, numéro 6, ta mission consiste à amener Derrick vers la montagne Spiridion. Là une surprise l'attendra, si tu vois ce que je veux dire...
Numéro 6 : Montagne Spiridion... d'accord. Je sais comment je vais faire. Mmh.
Superman : Quand à toi, Roger Moore, tu vas t'occuper de Drôles de dames.
Le Saint : Ah super, j'adore.
Superman : Empêche-les d'accepter la proposition de Derrick, elles sont en vacances à Mururoa. Pas de questions ?
Numéro 6 : Mmmh comment tu fais... pour parler sans bouger les lèvres... mmh ?
Superman : Eh bien, c'est un don que j'ai depuis tout petit, dans le métier on m'appelle super-ventriloque. Allez, salut les filles !
Passant #1 : Oh regarde ! Là-haut dans le ciel... un oiseau !
Passant #2 : Non... un avion !
Passant #1 : Mais non... c'est Superman !
Voix-off : Au coeur de l'océan pacifique, l'atoll de Mururoa.
Tiffany Welles : Ouahou les filles, c'est super fun le surf, c'est giga éclatant hahahaha... vous voulez pas vous baigner ? Ah elle est ultra bonne, c'est le grand délire, c'est hypra cool.
Kris Munroe : Moi malheureusement je peux pas, les anglais ont débarqué.
Tiffany Welles : Ah oui ?
Kris Munroe : Oui ça attire les requins... et si j'y vais euh...
Tiffany Welles : Y te boufferont le cul ! Ahaha... ah moi ça me donne faim, tiens voilà le vendeur de chouchous.
Caine : Chouchous... beignets aux pommes... sucettes... petits jouets amusants... crèmes glacées... qui veut mes chouchous... allons-y allons-y... il y va les chouchous...
Tiffany Welles : Tiens-là moi je vais en acheter...
Kris Munroe : T'as vu elle part du mauvais côté...
Kelly Garett : Ouais elle est con.
Kris Munroe : Ben je crois aussi...
Michel Tanguy : Tanguy à Laverdure... Tanguy à Laverdure... objectif repéré à midi.
Ernest Laverdure : Roger. Putain midi déjà ? Haha ! C'était une vanne eh... bon je largue les bombes hein ?
Kris Munroe : T'as lu le dernier Benoîte Groult ?
Ernest Laverdure : Objectif détruit, roger. On rentre à la base, roger.
Michel Tanguy : Oui, on rentre à la base, mission accomplie... j'appelle Roger Moore pour lui dire que tout baigne, et t'es gentil s'il te plait t'arrêtes de m'appeler roger.
Ernest Laverdure : Roger, roger. Roger.
Stephan Derrick : Putain je viens d'avoir Bosley, il est mal. Ses trois copines elles ont prit une bombe sur la gueule. Il parait que c'est plus des drôles de dames, c'est des drôles de hamsters... je sais pas ce qui se passe mais j'ai l'impression que quelqu'un nous en veut. Je crois qu'on va être obligés d'avoir une idée. Je sais que c'est pas gagné, mais qu'est-ce que tu veux faire ?
Harry Klein : Une idée ? Comme vous y allez... hmmhmm...
Stephan Derrick : Ah je sais que ça parait fou comme ça, mais on peut bien essayer ? Qui ne tente rien n'a rien... allez t'as bien une vieille idée... allez !
Harry Klein : Non je suis désolé mais j'en ai pas.
Numéro 6 : Rendez-vous montagne Spiridion... signé Berlusconi. Ahahaha... t'es foutu Derrick. Cette fois-ci, tes chances sont réduites à néant. Allez vole, petit pigeon.
Stephan Derrick : Eh je vous ai pas dit, j'ai une idée. Une idée neuve d'émission nouvelle.
Karen Fairgate / MacKenzie : Hmm joli...
Harry Klein : Eh si tu te moques euh t'arrêtes tout de suite hein, parce que c'est le patron et c'est pas un con tu sais...
Stephan Derrick : Aeh merci Hans, bon euh mon idée neuve c'est euh... euh tu vois si le lendemain par exemple y fait beau, bon ben euh on... on dit euh... on dit aux gens demain y fait beau quoi.
Karen Fairgate / MacKenzie : Ah oui mais ya un truc auquel vous ne pensez pas, si le lendemain il pleut, vous leurs dites quoi aux gens ? Bande de gros malins...
Harry Klein : Merde...
Karen Fairgate / MacKenzie : Haha... alors là vous êtes bien feintés hein ?
Policier : Inspecteur, un pigeon voyageur pour vous.
Stephan Derrick : Aeuuuh un pigeon ?
Policier : Oui un pigeon... vous avez rendez-vous à la montagne Spiridion.
Stephan Derrick : C'est signé Berlusconi... y vous a rien dit d'autre ?
Policier : C'est un pigeon, monsieur...
Stephan Derrick : Oui au temps pour moi...
Policier : Ya pas de mal, monsieur.
Harry Klein : Putain, c'est pas vrai hein. Elle est chiante la nana de Côte Ouest... elle est hyper négative, je supporte pas. Faut toujours qu'elle la ramène... qu'elle est con.
Stephan Derrick : Oui, mais là on a rencard.
Harry Klein : Oui, je sais, Berlusconi. J'ai entendu qu'il nous avait envoyé un pigeon voyageur... drôle d'idée... bon enfin, j'ai toutes les informations pour y aller dans mon carnet, allons-y.
Stephan Derrick : Alonzo.
Voix-off : Un peu plus tard, non loin de la montagne Spiridion.
Superman : Haha... tu es fait, Derrick, haha ! Tu vas tâter de ce caillou. Mon plan a marché à merveille... tiens, prends ça, et fait ta dernière prière. Sapristi ! Bon Dieu mais tu n'es pas Derrick !
Bernard Delaplace : Eh non, je suis Bernard Delaplace, et vous avez bousillé mon auto.
Superman : Super merde, je suis super désolé. Je viens de me super gourrer, je suis un super con.
Stephan Derrick : Mon petit Hans, je crois que c'est foutu foutu. On est vraiment perdu perdu.
Harry Klein : Han, patron, en plus j'ai envie de faire pipi pipi.
Stephan Derrick : Fallait prendre tes précautions avant...
Harry Klein : Ha ça c'est tout moi hein. Je suis une vraie tête de linotte.
Stephan Derrick : T'es pas une tête de linotte, t'es une grosse tête de con.
Harry Klein : Patron... qu'est-ce qui se passe ?
Stephan Derrick : J'en sais rien moi, je suis pas madame Soleil... eh les gars, ya un problème ?
Pompier : Ouais un type avec un body en Jersey bleu et une cape rouge balance des gros cailloux sur toutes les voitures.
Harry Klein : Mince patron, une berline noire, exactement la même que la notre. Je trouve que ce rendez-vous... ressemble étrangement à un guet-apen. Qu'est-ce que vous en pensez patron ?
Stephan Derrick : Ah oui, d'accord, mais qui est cette personne en rouge et bleu ?
Harry Klein : J'ai beau me creuser le citron je ne vois que Lova Moor patron.
Stephan Derrick : Lova Moor tu dis ? Eh pas bête, mais pourquoi elle nous en voudrait Hans ?
Harry Klein : Patron, ou c'est moi qui hallucine, ou je viens de voir Superman. Si c'est lui moi j'arrête hein.
Stephan Derrick : Heh oui t'as raison. Tu sais ce qu'on va faire mon petit Hans ?
Harry Klein : Une partie de scra... euuuh... de scrabbleble ?
Stephan Derrick : Non pas tout de suite. J'ai une idée, viens je vais t'en parler. Tu vois, on pourrait faire une chaine culturelle franco-allemande. Je suis sûr que les français seraient prêts à collaborer.
Harry Klein : Ouais génial... on devrait appeler Jack Lang.
Stephan Derrick : Attends tu brûles les étapes. On a un concept béton, mais avant d'appeler qui que ce soit, il lui faut un nom à cette chaine.
Harry Klein : Arte ?
Stephan Derrick : Arte... Arte... c'est bon ça ! T'es pas la moitié d'un con toi, tu seras directeur des programmes.
Harry Klein : Patron ?
Stephan Derrick : Quoi ?
Harry Klein : J'ai fais pipi dans ma culotte.
Sébastien : Oh ! C'est Superman !
Superman : Bonjour petit !
Papy : Heee... connard de Superman, va...
Sébastien : Hey papy, pour un gros con de chasseur tu l'as bien eu !
Papy : Ooh c'était facile, y volait bas. Dis-moi, tu connais le film "Délivrance" ?
Sébastien : Non, je connais pas.
Papy : Eh ben c'est une histoire de chasseur aussi. Allez rentre-donc là-dedans.
PatrikRoy 10/2003
Un bisou au correcteur officiel, le roi de la classe, Captain Telex